Ma belette, pour te faire patienter, voici le résumé et un court, très court, extrait de ma romance, dénommée, très laconiquement, Laure.
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Si tu ne l’as toujours pas fait, jette un oeil et participe, tous les participants gagneront une surprise ! Alors, n’hésite plus.
⚠️ Attention, date limite le 31/07 ! ⚠️
Résumé
Pour te donner envie :
Moi, c’est Laure, écologiste passionnée, et puis il y a Rodolphe, industriel cynique. Nos vies et nos avis sont aussi différents que le jour et la nuit. Moi, je suis moderne et écologique comme une voiture électrique, et lui, il est robuste et lourd mais polluant (pour rester polie, il reste un PDG, hein ? ) comme un vieux diesel.
Notre première rencontre ? Elle a frisé le réchauffement planétaire. Rodolphe et moi n’avons rien en commun, c’est l’huile (il en fabrique) et l’eau ou le soleil et la pluie (devinez qui est l’un et l’autre, ha ha) Enfin, sauf peut-être notre solitude. Là, c’est moins amusant.
À 50 ans, après des années passées seule, puis-je espérer trouver l’amour et pas un obsédé du tuning ou de foot, tennis, rugby ? (rayez la mention inutile) Suis-je prête à lui faire de la place dans mon lit alors que je dors en travers ? Suis-je disponible à supporter des émissions sur la vie des hamsters quand je préfère celle des lézards ? Sans oublier mes parents vieillissants qui m’inquiètent et l’idée de finir seule m’angoisse au plus haut point.
C’est l’histoire de deux âmes solitaires que tout semble séparer. Rodolphe est un PDG limite tyrannique, un clone de Dr House, aussi cynique et rongé par la culpabilité. Moi, j’ai une grande bouche que j’ouvre sans arrêt (Pas comme la grenouille, si vous avez la blague en tête) et revendique ma liberté comme un étendard, une Sally Albright (Quand Harry rencontre Sally). Notre rencontre va bouleverser notre existence et remettre en question notre état d’esprit. Jusqu’à quel point ? Rodolphe et moi sommes-nous prêts à faire des concessions alors que notre vie est déjà pétrie d’habitudes et de certitudes ?
Extrait exclusif , cadeau 🎁
Laure
J’enfourche mon vélo et jette un œil à gauche tout en pédalant sur le trottoir. J’accélère, regarde de nouveau sur ma gauche et je suis projetée sur le capot d’une voiture. Je pousse un long cri autant de surprise que de douleur. Et tombe.
— Aïe ! Putain !
Je donne un violent coup de poing sur le véhicule, essaie de me redresser, ma bicyclette coincée entre mes jambes m’en empêche et je retombe comme une grosse merde.
— C’est pas vrai ! Déjà que cette soirée a été pourrie, elle ne pouvait pas se terminer plus mal, je maugrée en grimaçant.
— Vous allez bien ? s’inquiète quelqu’un.
Je me relève avec difficulté et réplique en me massant le coude :
— D’après vous ?
Quel crétin ! Une voix grave, très particulière, chaude, s’immisce dans la conversation, et mes poils se hérissent.
— Jean-François, garez le véhicule plus loin, vous gênez la sortie.
Non, pas lui, ce n’est pas possible ! Nos regards se croisent et je lis une pointe d’amusement qui me fait grincer des dents. Soirée de merde…
Alors, tu en penses quoi, ma belette ? Hâte de lire la suite ? V’oui ? Bientôt, bientôt…
N’hésite pas à me donner ton avis par mail ou sur les RS, je réponds toujours.